Aujourd’hui. 14 septembre 2023.
Ça fait exactement 7 mois que tu ne fais plus partie de mon petit monde… Qui était anciennement NOTRE petit monde… Ma meilleure amie, tu me manques tellement!! 
Ton départ est si souffrant! TROP même 
Tout le monde me dit de rester forte, mais CRIME que c’est beaucoup trop facile à dire, comparativement à quand tu dois le faire… Si seulement t’étais encore là pour m’aider à me relever… Non, à la place, cette fois, c’est toi qui m’a fait tombée… et j’arrive pas à me relever sans toi. Tu m’as abandonnée… En ne me disant RIEN.
T’sais… j’suis fâchée contre toi!
Puis, j’suis fâchée contre moi-même aussi, à cause que je suis fâchée contre toi! Ça ne fait aucun sens, hein…? Je sais… mais c’est comme ça.
T’sais, j’suis pas fâchée que tu n’aies pas eu le choix de te sortir de ta souffrance autrement. Ça, j’peux le comprendre parce que j’ai moi-même de la misère à me trouver des options pour moins souffrir. Mais sache que je suis très fâchée pour la date que tu as choisie. Tu sais très bien que cette date représentait une journée importante dans ma vie et c’est une journée qui aurait dû être joyeuse chaque année. Maintenant, il me sera impossible de penser à moi cette journée là, puisque je n’aurai que toi en tête. Cela me frustre.
Puis, comme j’ai dit plus haut, j’suis fâchée contre moi-même, car je me frustre contre toi alors que tu n’as pas demandé à ce que ta meilleure amie se mette à te détester… En fait, NON. Je te déteste pas et SURTOUT, ne croit pas ça. Mais ce que tu as fait… ÇA! Je déteste…
Je me sens coupable de n’avoir rien vu venir et même si on me le dit que ce n’est pas de ma faute, ça ne change rien à cette culpabilité… Elle sera toujours là, j’imagine…
En ce 14 septembre 2023, ton absence me pèse énormément. Je souffre beaucoup. J’espère au moins que tu as tout fait pour essayer de te battre…! En tout cas, pour ma part, j’essaie vraiment fort! Parce qu’il est important de ne jamais abandonner avant d’avoir essayé! JAMAIS!
J’ai hâte au jour où ton absence sera moins souffrante. Au jour où je pourrai penser à toi sans en souffrir à un tel point de ne plus avoir la capacité de réfléchir correctement… Au jour où je serai en capacité de tolérer et endurer mes sentiments et émotions. Au jour où je pourrai penser aux bons moments qu’on a passés ensemble. Pour l’instant, c’est trop souffrant de penser à ça…
Même si ça me fait TRÈS mal, je pense quand même à toi, car je t’oublierai JAMAIS.
Je t’ai aimé, je t’aime et je t’aimerai toujours 
Tu me manques…
Je m’ennuie de toi…
